Anna-Fatima est un spectacle qui questionne l’immigration algérienne, abordé sous l’angle de l’héritage et de la mémoire.

C’est un seule en scène, à la lisière de l’autofiction et du documentaire :
– Autofiction, car le spectacle prend racine dans l’expérience personnelle de Sophie Lebrun
– Documentaire, car elle a interviewé de nombreuses personnes issues de l’immigration algérienne pour recueillir leurs témoignages.

Le spectacle met en scène la genèse et la rencontre de deux personnages (Sophie et Anna-Fatima) qui dialoguent, explorant le parcours complexe des identités multiples.

 » Anna-Fatima pourrait être mon double. Elle est d’ailleurs double sous plusieurs formes. C’est une femme qui est née dans un pays qu’elle ne connait pas et qui la poursuit. Ce pays, c’est l’Algérie.
Ce solo, c’est une femme qui raconte des histoires.
Elle parle pour se souvenir de choses qu’elle n’a pas vécues. Elle parle aussi, parce qu‘elle a envie de se raconter pour ne pas imploser, exploser.  » – Sophie Lebrun   

C’est une tentative de fiction sur des faits et des ressentis réels.

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